Nancy : La livraison et la vente à emporter de vos plats en Lorraine
Nancy, ville, dans l’ancienne province de Lorraine, à l’ouest de Strasbourg, près de la rive gauche de la Meurthe. Jusqu’au XVIIIe siècle, Nancy était composée de deux villes fortifiées distinctes. Au nord se dressait la ville médiévale, la Ville-Vieille et au sud la Ville-Neuve (ville nouvelle), fondée à la fin du XVIe siècle. En 1750, Stanisław I (Stanisław Leszczyński), roi de Pologne et beau-père de Louis XV (régna de 1715 à 1774), abattit les murs qui séparaient les deux villes et chargea l’architecte français Emmanuel Héré de Corny de concevoir un nouveau centre-ville bien planifié, centre-ville où beaucoup de restaurants à Nancy ont décidés de s’installer pour prososer la vente à emporter et la livraison de repas. La ville s’est encore agrandie après la guerre franco-allemande de 1870-1871 et au cours du 20e siècle. Le groupe central de bâtiments érigés par Héré sous Stanisław I constitue l’un des exemples existants les plus parfaits et les plus homogènes de l’architecture française du XVIIIe siècle. La place publique rectangulaire appelée la place Stanislas mesure 120 mètres sur 105 et comporte quatre coins coupés ornés de balustrades en fer forgé bordées de dorures. D’un côté de la place se trouve le bel hôtel de ville (hôtel de ville), et de l’autre, le musée des Beaux-Arts, qui possède une belle collection de peintures baroques et rococo. En face de la mairie se trouve un arc monumental, construit en l’honneur de Louis XV; il s’ouvre sur la place oblongue de la Carrière (XVIe-XVIIIe siècle). Le Palais du Gouvernement du XVIIIe siècle, au bout de cette place, possède une belle colonnade ionique grecque. Attenant au bâtiment se trouve l’ancien Palais Ducal (principalement du XVIe siècle), qui abrite aujourd’hui le Musée Historique Lorrain, avec sa riche collection d’art et de folklore régional. Au XIe siècle, Nancy était une petite commune dominée par un château. Fortifiée au 12ème siècle, elle devint la capitale des ducs de Lorraine. En 1477, Charles le Téméraire, duc de Bourgogne (1467–1477), fut tué alors qu’il tentait de s’emparer de la ville. Au 16ème siècle, il est devenu prospère; et Charles II (ou III), le Grand, duc de Lorraine et du Barreau (1543-1608), fonda une nouvelle ville distincte, la Ville-Neuve, qui fut capturée par les Français en 1633 et restaurée aux ducs de Lorraine après le traité de Rijswijk en 1697. Louis XV accorda Nancy et le duché de Lorraine à Stanisław I après avoir perdu la couronne polonaise en 1735. À la mort de Stanisław en 1766, la ville passa en France, dans les restaurants à Nancy il est possible de manger des spécialités allemande (ces plats se vendent aussi bien click & collect qu’en livraison). Après la guerre franco-allemande de 1870-1871, la population augmenta considérablement, car Nancy devint le principal refuge des migrants francophones d’Alsace et de Metz, sous domination allemande. Nancy a subi des dommages pendant la Première Guerre mondiale, mais était presque indemne pendant la Seconde Guerre mondiale. Nancy rivalise avec Metz en tant que capitale administrative et commerciale en Lorraine. Réputée pour sa culture et ses arts, Nancy est également un centre de longue date de l’enseignement supérieur et de la recherche, avec trois universités. Les entreprises de recherche et développement (en particulier dans les domaines des technologies de l’information et de la biotechnologie) jouent également un rôle important dans l’économie locale. De plus, Nancy a longtemps été associée aux industries chimique, métallurgique et électrique. Les restaurants à Nancy commencent eux aussi à être très nombreux, beaucoup proposent la vente à emporter ainsi que la livraison.
La gastronomie à Nancy
La Quiche Lorraine : Spécialité emblématique de la Lorraine adoptée par la France entière, la quiche lorraine est une tarte salée, dorée en surface, composée d’une pâte brisée garnie d’une épaisseur crémeuse constellée de lardons rosés. La recette débute par la confection d’une pâte brisée classique : farine, sel, beurre et eau. Laissée au repos, cette pâte sera abaissée assez finement et plaquée dans un moule à tarte beurré. Le lard fumé de porc, blanchi quelques minutes à l’eau bouillante, une fois égoutté, sera détaillé en dés et éparpillé sur le fond de pâte. Suit la réalisation de ce que l’on appelle la “migaine” : des oeufs, cassés dans un saladier, battus en omelette et additionnés de crème fraîche. L’appareil est ensuite salé, poivré, muscadé et déversé sur les lardons. La tarte rejoint un four préchauffé à température moyenne pour une demi-heure environ. A noter que la galette au lard du pays messin se distingue par l’ajout de fromage râpé et de fines herbes (ciboulette). Très proches également sont la quiche vosgienne, qui contient aussi du fromage, et la quiche alsacienne, qui contient des oignons frits. La Quiche Lorraine est un must du click & collect pour les commerçants nancéens, il est également possible de se faire livrer une part de quiche par les nombreux restaurants à Nancy qui ont cette spécialité sur leur carte.
Le macaron de Nancy : Le macaron de Nancy, apparu en 1793, doit son origine à deux religieuses bénédictines, rebaptisées Sœurs Macarons. Leur secret de fabrication fut précieusement gardé et transmis au cours des siècles. Le dépositaire actuel du secret est actuellement Nicolas Genot de la Maison des Sœurs Macarons. Comme pour la Quiche ce dessert est un classique de la vente à emporter (click & collect) pour les pâtissiers de Nancy, concernant les restaurants à Nancy ce dessert est souvent dans les menus il sera donc possible pour vous de déguster un macaron de Nancy chez vous à condition de prendre un menu avec.
Le Gâteau Saint Epvre : Gâteau composé de deux disques de meringues aux amandes, fourré avec une crème à la vanille mêlée de nougatine pilée). Créé par la Maison ADAM, à l’ombre de la Basilique éponyme, Place Saint Epvre, c’est le gâteau traditionnel des repas dominicaux dans les familles nancéiennes. Ce dessert est proposé par les restaurants à Nancy que ce soit à emporter ou en livraison.
