Limoges : la vente à emporter et la livraison de repas dans la capitale de la porcelaine

Limoges, sud-sud-ouest de Paris, sur la rive droite de la Vienne. Capitale des Lémovices, une tribu gauloise, Limoges était un important centre romain, avec son propre Sénat et sa propre monnaie. Le christianisme a été introduit dans la ville par Saint Martial au 3ème siècle. Les légendes de ses miracles se sont répandues rapidement et son sanctuaire est devenu une halte pour les pèlerins sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle dans le nord-ouest de l’Espagne, l’un des sanctuaires les plus importants de la chrétienté. Au IXe siècle, une abbaye fut construite à la crypte et au tombeau de Saint-Martial, tout près de Limoges, et la colonie qui s’y développait sous le contrôle de l’abbé rivalisa bientôt avec l’autre ville, contrôlée par l’évêque. Les deux villes étaient sur des côtés opposés pendant la guerre de Cent Ans entre l’Angleterre et la France (1337-1453) et sont restées séparées jusqu’en 1792. Jusqu’au XVIe siècle, Limoges était fréquemment dévastée par les incendies, la peste et la famine. Elle a retrouvé son ancienne prospérité au 18ème siècle, surtout après l’introduction dans la seconde moitié du siècle de la fabrication de porcelaine, qui reste importante aujourd’hui, bien qu’une grande partie de l’industrie ne soit plus contrôlée localement. Une gamme d’autres industries s’est développée dans la zone urbaine, y compris l’impression, la transformation des aliments et la fabrication de composants de véhicules, d’appareils électriques et de vêtements. Limoges est une ville universitaire et un service régional et un centre administratif. Un centre de recherche a été ouvert au début des années 90 pour améliorer l’économie de la ville et promouvoir la recherche et le développement dans des domaines tels que la céramique. Limoges jouxte l’autoroute Paris-Toulouse et possède un aéroport régional. Les deux villes médiévales, maintenant fusionnées et envahies par la ville moderne, peuvent encore être reconnues par leurs rues étroites et sinueuses, qui contrastent avec les routes spacieuses des quartiers plus récents. La cathédrale Saint-Étienne du XIIIe siècle possède un élégant clocher en partie octogonal, typique des églises gothiques de la région. L’église Saint-Michel-des-Lions (XIVe-XVe siècle) possède une tour de 65 mètres de haut, avec une flèche surmontée d’une grosse boule de bronze; il possède également de beaux vitraux du XVe siècle. Le Palais de l’Évêché, datant du XVIIIe siècle, abrite désormais le musée municipal, qui possède une importante collection d’émaux anciens. Le musée national Adrien Dubouché possède une collection de céramiques et porcelaines. Beaucoup de restaurants ont choisis de miser sur la vente à emporter et la livraison de Repas.

La Gastronomie à Limoges 

Le pâté de pomme de terres : Le « pastis de treflas » en version occitane, spécialité limousine très présente sur nos marchés, est une tourte briochée (et oui j’ai bien dit briochée!!! la pâte feuilletée n’étant qu’une variante de la recette originelle) garnie de rondelles de pommes de terre parfumées de persil et d’ail et souvent nappées de crème fraîche. Pour les carnivores on peut aussi trouver une autre variante régionale agrémentée de viande de porc (traditionnellement du petit salé). C’est une véritable célébrité locale, pour preuve son passage au journal de 13h d’une grande chaîne nationale. Cette spécialité est proposée par de nombreux restaurants à Limoges que ce soit à emporter (Click & collect) ou livraison.

Le boudin Noir aux châtaignes :  Les origines du boudin noir remonteraient à la Grèce Antique!   Mais je vous rassure le boudin noir aux châtaignes est bien une recette pur cru limousin. Traditionnellement fabriqué au moment où l’on tuait le cochon, il est composé de sang, de couenne, de gorge et de tête de porc (j’en connais qui ne mangeront plus jamais de boudin), d’oignons et de châtaignes, le tout assaisonné avec des clous de girofle. Par la suite, une enveloppe, en général du boyau de porc, est « embossée » (et oui c’est le terme consacré) avec ce mélange, puis cuite dans un bouillon. On peut les déguster chauds ou froids, accompagnés d’une purée de pommes de terre ou de quartiers de pomme fruit sautés au beurre. La recette est complexe mais pour les courageux qui voudraient se lancer, votre empereur vous recommande la recette de ce blog culinaire qui allie pédagogie et références culturelles. Ce plat typiquement du limousin est proposé par de nombreux restaurants à Limoges que ce soit à emporter ou en livraison

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