Caen : La vente à emporter et la livraison de votre repas dans une ville chargée d’histoire
Caen, nord-ouest de la France, sur l’Orne, à 14 km de la Manche, au sud-ouest du Havre. Elle devint importante pour la première fois sous les ducs normands aux Xe et XIe siècles et fut la capitale de la Basse-Normandie au temps de Guillaume le Conquérant. Capturée par les Anglais à deux reprises – en 1346 et en 1417 – elle fut détenue par eux jusqu’en 1450 vous trouverez d’ailleurs parmi les restaurants à Caen de nombreux restaurants typiquement anglais et il est toujours agréable de commander un fish & chips. La révocation de l’édit de Nantes (1685) brisa la prospérité de la ville devenue protestante. Pendant la Révolution française, c’était un centre pour le mouvement girondin. À la suite de l’invasion alliée de la Normandie en 1944, les Allemands utilisèrent Caen comme charnière de leur résistance à l’avancée anglo-canadienne, et la ville fut détruite aux deux tiers. Il a été reconstruit, avec des zones industrielles prévues entre l’Orne et le canal portuaire. Une plaine verdoyante, la Prairie Saint-Gilles, fait face au côté sud-ouest de la ville, et des jardins publics ont été plantés en centre-ville. L’université, fondée en 1432 par Henri VI d’Angleterre, a été réinstallée et rouverte en 1957, autour de cette université se trouvent de nombreux restaurants à Caen qui proposent la vente à emporter et la livraison. Le Mémorial de Caen (ouvert en 1988) est un musée dédié à la fois à la guerre et à la paix. Les églises de Saint-Étienne (l’Abbaye-aux-Hommes) La Trinité (l’Abbaye-aux-Dames) ont échappé aux dommages de guerre; tous deux datent des années 1060 et sont de beaux spécimens de l’art roman normand. La tombe de Guillaume le Conquérant se trouve devant le maître-autel de Saint-Étienne et la tombe de sa femme, Mathilde, se trouve dans le choeur de La Trinité. Les restes de William ont été jetés pendant la Révolution. Saint-Étienne a une façade austère sans ornement. Ses deux tours, s’élevant à 295 pieds (90 m), sont surmontées de flèches du XIIIe siècle. Les bâtiments de l’abbaye, refaits au XVIIe siècle, abritent aujourd’hui des bureaux municipaux. La solidité normande de La Trinité est surchargée par des travaux de restauration ultérieurs (surtout du XIXe siècle). La nef sert d’église paroissiale, le transept et le chœur font partie de l’hôpital de la ville (hôtel-dieu). À mi-chemin entre ces deux églises se trouve l’église Saint-Pierre très décorée, ses beautés gothiques et de la Renaissance française restaurées après les dommages de guerre. Sur la place Saint-Pierre se dresse l’Hôtel Le Valois d’Escoville, un manoir Renaissance restauré (1538). La maison natale du poète François de Malherbe (1555) se trouve rue Saint-Pierre. L’importance de Caen en tant que port remonte à la construction au XIXe siècle du canal maritime (environ 14 km de long), qui longe le fleuve et s’ouvre sur la Manche à Ouistreham. Il sert en grande partie à importer du coke et à exporter de l’acier. L’industrie sidérurgique de la ville est alimentée par les mines de fer de la vallée de l’Orne. Les hauts fourneaux de Mondeville ont été reconstruits, et la population ouvrière est logée dans la nouvelle ville d’Hérouville. L’aspect industriel de la ville s’est considérablement développé avec l’implantation d’usines d’automobiles, d’appareils électriques et d’électronique. Située au centre d’une région céréalière fertile, à la vue du bocage verdoyant de Normandie, Caen est un centre de services majeur pour tout l’ouest de la Normandie. Vous l’aurez compris Caen est ville d’histoire mais pas que, en effet la restauration à une place très importante pour les caennais le nombre de restaurants à Caen est impressionnant et de plus en plu se mettent à la vente à emporter et à la livraison.
La Gastronomie à Caen
La sole normande : La sole normande (ou à la normande), classique de la gastronomie française, réunit dans un plat des filets de ce noble poisson avec notamment des moules de bouchot, des huîtres, des écrevisses, des champignons, le tout sous une sauce au vin blanc crémée. L’objectif de la recette est de napper de sauce bien chaude des filets de soles, préalablement cuits au four et associés à des filets de goujons frits en beignet (dans de l’œuf, du lait, de la farine et de la mie de pain), des écrevisses et des têtes de champignons, ainsi que de la chair d’huître ciselée et des crevettes décortiquées. La sauce résulte d’une réduction de jus de moule échaloté, additionné de celui rendu par les champignons de couche sautés au beurre et de vin blanc, enrichi de crème fraîche, assaisonné de poivre et de sel. Ce plat est à la carte des restaurants à Caen qui proposent du poisson, il sera compliqué d’en trouver un qui vous livre de la sole cependant vous pouvez opter pour la vente à emporter.
La poule au blanc : Très ancienne spécialité culinaire normande, la poule au blanc est un plat au goût onctueux et doux. Il consiste en une poule de ferme mise à cuire avec des carottes, navets, poireaux, oignons plantés de clous de girofle, ainsi qu’un bouquet garni, dans une sauce blanche mouillée de cidre et d’eau. La sauce d’accompagnement se réalisera avec de la crème fraîche et des œufs, mouillés du jus de cuisson. Contrairement à la sole ce plat vous sera par de nombreux restaurants à Caen, vous pourrez également choisir de venir la récupérer en click & collect.
La crêpe à la normande : La crêpe à la normande, épaisse, accueille dans sa pâte dorée par la cuisson au beurre des rondelles de pommes caramélisées, macérées dans du calvados ou flambées. Dans son expression la plus simple, la recette consiste à réaliser une pâte à crêpe classique (farine, pincée de sel, sucre, lait, beurre fondu, œufs, calvados), de la répartir en louches dans une poêle beurrée, et d’y jeter de fines lamelles de pomme. La cuisson, à feu doux, prendra une petite dizaine de minutes par côté. Ce dessert vous le trouverez dans tous les restaurants à Caen (ou presque), il est possible de vous le faire livrer mais pour les crêperies ce plat reste un must de la vente à emporter.
